C’est à Woodfield-Sillery que Daniel Ouellet et sa conjointe ont décidé de s’établir. Les deux médecins à l’aube de la retraite ont bien l’intention de profiter longtemps du paysage dans leur nid en surplomb des arbres, au cœur de Sillery.

Dans le salon de son condominium, Daniel Ouellet laisse son regard s’égarer en direction du fleuve, aujourd’hui invisible, caché par le persistant brouillard qui recouvre Québec.

Pour l’homme originaire de Matane, le Saint-Laurent est bien plus qu’un simple cours d’eau, il est un personnage principal dans l’histoire de sa vie. 

«J’ai toujours eu un attachement pour le fleuve, et ma blonde en est tombée amoureuse. On s’était dit qu’un jour nous allions nous trouver quelque chose près de lui», confie-t-il.

Woodfield-Sillery, le choix naturel

Cette idée du fleuve comme point d’amarrage était au centre de leurs recherches du parfait condominium. Le projet Woodfield-Sillery s’est rapidement imposé comme le lieu idéal.

«Nous sommes à 400 mètres de l’avenue Maguire et à 1 kilomètre des plaines d’Abraham. Géographiquement parlant, c’est impossible à battre», fait-il remarquer. 

La tranquillité de Woodfield-Sillery est également très importante pour M. Ouellet. En regardant les grands murs fenestrés qui encadrent le salon et la cuisine de son condominium, on pourrait se croire en pleine nature, aucun bâtiment n’étant visible à proximité. 

«Je ne suis pas un citadin, j’ai besoin d’espace et d’intimité. C’est exactement ce qu’on trouve ici», confirme-t-il. Les arbres et les pierres tombales du cimetière en contrebas amènent une tranquillité et une intimité tout à fait uniques. 

Une terrasse extraordinaire

Depuis le début, le coup de cœur du couple est sans contredit la terrasse sur le toit. Au-dessus de leur condominium se trouve une véritable oasis qui accueillera certainement des dizaines de repas en famille ou entre amis au retour de la belle saison. 

«Cet été, il va y avoir une vraie vie sur la terrasse», rêve déjà Daniel Ouellet en détaillant son projet d’aménager l’espace par l’ajout d’une pergola. À l’entendre parler, l’envie nous prend soudain de nous retrouver au soleil couchant par une chaude soirée du mois d’août, un verre à la main.

À la découverte de Sillery

De l’aveu même du principal intéressé, le quartier recèle encore beaucoup de secrets pour le couple, l’été dernier ayant surtout été consacré à défaire les boîtes et à aménager leur condominium. Ils comptent remédier à la situation dès ce printemps en partant à la découverte de leur nouveau milieu de vie. 

M. Ouellet est toutefois déjà ravi de son tout nouveau statut de Sillerois. «Nous allons à pied manger au Montego. Je me lève chaque matin à 7 h 30 pour promener le chien et aller acheter des pâtisseries et du pain. Je fais du vélo sur la promenade Samuel-De Champlain», énumère-t-il.

Pour sa retraite, le couple compte bien profiter de la vie à fond et, déjà, M. Ouellet est en mesure d’affirmer que leur condominium à Woodfield-Sillery est l’endroit idéal pour le faire.