L’aventure Woodfield-Sillery débute en 2005, alors que les trois frères à la barre de Bilodeau Immobilier apprennent qu’un magnifique terrain sur les falaises de Sillery serait sur le point de devenir disponible. 

Le lieu est idéal. À l’orée d’un cimetière et avec une vue imprenable sur le fleuve Saint-Laurent, l’endroit possède un immense potentiel qui saute vite aux yeux des trois entrepreneurs. Ils savent bien qu’avoir un condo neuf de qualité supérieure avec un panorama sur le fleuve est un rêve pour beaucoup de leurs clients.

La qualité à tout prix

Un délai de neuf ans, engendré par la complexité du projet et des modifications à la réglementation du secteur, a retardé la première pelletée de terre. Les trois frères en ont profité pour bien peaufiner leurs plans et réaliser leur vision : faire de Woodfield-Sillery un développement dans une classe à part. Au rayon qualité, ils ne se donnent pas droit à l’erreur.

«Nous, ce qu’on veut, c’est que sur l’échelle de qualité des condominiums à Québec, il y ait les condos normaux, puis ceux de prestige, et qu’au-dessus de ça il y ait les projets de Bilodeau Immobilier», énumère Jean-Pierre. 

À chaque étape, l’entreprise s’efforce toujours d’aller au-delà des demandes des clients. «D’ailleurs, ce gars-là a eu une ovation debout lors de la première réunion de copropriété, ajoute Jean-Pierre en pointant son frère Marc. Parce que vraiment tout le monde est content. Que ce soit de la construction ou de la manière dont nous avons travaillé.»

En installant eux-mêmes des antennes cellulaires afin d’améliorer la couverture ou en s’assurant que les places de stationnement soient assez larges pour tous les conducteurs et les types de véhicules, les trois frères n’omettent aucun détail dans leur quête de qualité. 

La recherche de toilettes silencieuses pour Woodfield-Sillery peut sembler futile, mais représente bien ces petites attentions qui font la différence pour les acheteurs. 

En effet, une plainte fréquente de la part des acquéreurs de condo, peu importe le développement, est le bruit de la chasse d’eau de leurs voisins, particulièrement la nuit… 

«Nous avons essayé toute sorte de choses, explique Marc. Nous avons consulté un acousticien qui nous a conseillé un système pour surélever les toilettes, mais ça ne faisait pas l’affaire.» C’est pourquoi les toilettes de Woodfield-Sillery sont encastrées dans les murs.

«Ça fait 30 ans qu’on est là-dedans. On connaît les préoccupations des gens», ajoute Jean-Pierre.

Une carte de visite

Très fier, Éric ne peut s’empêcher de plaisanter au sujet de l’isolement de Woodfield Sillery. «Ce qui est dommage, c’est qu’on ne voit pas le développement depuis la route», blague-t-il. 

«S’il était sur le bord de Duplessis, il serait plus visible», renchérit Marc. 

Évidemment, ils savent bien que l’isolement relatif du développement entouré d’arbres est en bonne partie ce qui rend Woodfield-Sillery unique. Ils sont conscients que ce projet est pour eux une carte de visite exceptionnelle. Et ils en sont fiers.